Tordu comme un boomerang

Je m’y attendais, mais en même temps je n’avais pas envie d’y croire. Faut croire, que j’ai gardé un côté bisounours et naïf, dans le fond. Je pensais que je pourrais continuer à écrire, que j’étais encore libre et que j’arriverais à jongler avec la censure. Ma censure. Ce que j’avais le droit de dire, et le reste.
Je pensais aussi que mon second degré, mon humour noir et cynique et le recul que je peux avoir concernant certaines situations c’était mon truc à moi. J’ai du me planter. Je pensais que c’était pour ça que j’avais des lecteurs, qu’elle aimait me lire. J’ai du me planter aussi.
Chaque mot que je couche sur ce papier virtuel, que je publie sur ce blog me revient chaque fois en pleine gueule. Comme un boomerang. Un boomerang mal contrôlé.
J’arrête là. Je vais ailleurs, voir si j’y suis et si vous y êtes aussi.

C’est une histoire de dingue, une histoire bête à pleurer.


PS: Seuls celles et ceux qui me contacteront par mail auront la suite.

7 commentaire(s):

mali a dit…

t'as pas compris ce que je voulais te dire. C'est moi qui disparais. Ceci est et restera mon dernier commentaire sur l'ensemble des blogs

ZeStE a dit…

Genre! Mais oh, les filles, allez, un bisou et on oublie tout !!!!! *la fille qui s'incruste*

Aecia a dit…

=> LaMalice: Si j'ai très bien compris.

=> Zeste: Vas goûter au lieu de t'incruster comme ça. :D

zofia a dit…

Tu m'envoies ton mail pour que je t'envoie un message pour te demander ta nouvelle adresse blog ?! ;-)

R. a dit…

Adieu

A a dit…

Merci R de ton intervention encore une fois très pertinente et nécessaire.

R. a dit…

Lol A. vue que tu parts, jme suis dit que je devais te dire Adieu.

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