London Calling

Au début j’étais partie pour écrire cet article en Anglais, je l’avais même dit à W. Mais une fois devant ma page blanche et ma première phrase écrite, je ne savais plus quoi raconter. Pourtant, écrire en Anglais a été mon quotidien pendant à peu près 5 ans, avec une augmentation de l’intensité (cette phrase ne veut absolument rien dire, mais « dès que le vent soufflera je repartira » non plus, pourtant personne n’a jamais rien dit à Renaud que je sache) pendant mon séjour à Amsterdam. (Non, je ne le dirai jamais assez, que j’ai fait un séjour Erasmus chez les Bataves ; et tant que ce blog je tiendrai, d’Amsterdam je parlerai)
Donc, comme j’ai bloqué à la première phrase et que je sais qu’une partie de mon lectorat comprend l’Anglais comme je comprends l’Ouzbek, je me suis dit que l’article en Anglais ça serait pour plus tard, genre à mon retour de vacances (parce que j’aurai entendu que ça pendant une semaine) ou alors un soir de biture (parce que je trouverai ça fun d’écrire en Anglais).
Bref.
Ce voyage-là était mal parti. Une fois je peux partir, le lendemain tout se modifie à la fac, donc tout est remis en question et ça, jusqu’à la semaine dernière où j’ai enfin su que je serai libre la semaine du 13. Donc, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. On va prendre les billets en agence, où Nadine nous choisit les billets les moins chers du marché du billet pour Londres, on raconte deux trois conneries, et quand elle nous demande si on a déjà réservé l’hôtel (oui, Nadine se souciait même d’où on allait dormir), je lui réponds « Oh, ben non, nous, on dort dehors ». Ouais, ben j’aurais mieux fait de la fermer, voyez-vous. Parce que j’ai galéré comme une huitre au soleil pour trouver un hôtel pas trop cher et pas trop loin du centre et potable aussi. Oui, non parce que des hôtels pas trop chers y’en avait plusieurs, mais je n’avais pas forcément envie de dormir dans le placard à balais sous la réception. Et je sais que ma sœur et Last_Aerials qui m’accompagnent, non plus.
Je réussis finalement à trouver un hôtel qui a l’air correct (mais un peu excentré) dans la soirée et aujourd’hui, alors que je voulais retirer de l’argent pour faire le remake de Pretty Woman, j’ai dû aller à l’agence du centre commercial (un samedi après-midi, je ne raconte donc pas le bordel dans lequel j’étais pour atteindre le parking, me garer et sortir du parking) pour au final retirer la moitié de ce que je voulais initialement. Ne pas avoir d’argent c’est un compte, mais ne pas pouvoir utiliser celui qu’on a est simplement frustrant.
Je ne sais pas trop, j’espère que ce ne sont que des emmerdes d’avant départ et qu’une fois sur place tout sera finger in the nose.
Tout ça pour dire que l’histoire du « Grand Joli Garçon pour vivre le Grand Amour (dont le code est GJ2GA) » ça sera pour la semaine d’après. Je fais dans le teasing, un peu pour que vous ne m’oubliez pas pendant une semaine, hein.
Je vous embrasse mes Loulous (oui, je suis d’humeur affectueuse aujourd’hui) et see you next week.

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