Parce que ce sont de très bons souvenirs que je viens juste de me remémorer avec la principale intéressée.
Parce que quoiqu'on en dise, j'adore me replonger dans le passé, et surtout dans cette période.
Parce que j'ai envie de vous faire partager tout ça.
Je ressors un texte (désolée pour celles et ceux qui me suivent et qui y ont déjà eu droit) que j'ai écrit cet hiver (2009, quoi).
En plus de dire sans cesse "Arrête" quand on les embête, nos plus jeunes frères et sœurs nous font parfois redécouvrir des artistes. Moi, par exemple (en même temps je serais bien embêtée si je devais parler d’un de vous), ma sœur est en pleine période Saez. Ça tourne en boucle dans la chambre voisine. Ça chante du Sexe (je ne l’en félicite pas, d’ailleurs), ça met en pseudo du J’veux qu’on baise sur ma tombe, ça fait tourner Jeunesse lève toi. Bref, vous l’aurez compris, c’est Saez à toutes les sauces. Du vieux, du neuf, tout ça tout ça, quoi. Du coup, moi ça m’a donné envie d’y retourner. D’en remettre une couche. D’autant plus qu’avec Saez j’ai une sorte de relation à la je-t’aime-moi-non-plus.
Je me souviens avoir déjà noircies quelques pages concernant Saez sur un de mes précédents blogs, mais je ne pense pas que vous étiez présents pour les lire, alors… alors je recommence. Et puis, comme tous les couples qui aiment se remémorer leur première rencontre, j’aime vous re-raconter ma première fois avec Saez.
En fait, Saez a ça de particulier qu’au début je ne l’aimais pas du tout. Souvent, la première chanson que les gens connaissent de lui, c’est Jeune et con, celle qui passe à peu près bien à la radio. Mais, contrairement aux autres, la première fois que j’ai entendu ce chanteur, c’était certes à la radio, mais avec Sexe. J’avais 14 ans. Je me souviendrais (je crois) de cette soirée pendant encore pas mal d’années. C’était tard le soir. Je rangeais ma chambre (comprendre défaisais, remettais des posters de Buffy sur les murs de ma chambre) et j’avais mis de la musique. J’entends alors les premières paroles de Sexe et je m’arrête, brusquement, avec mon poster de David Boreanaz dans les mains. Interpelée, interloquée (et tous les adjectifs qui finissent par –ée) je n’ai plus rien fait jusqu’à ce que la chanson soit finie. Il fallait que j’écoute. Le lendemain, sans attendre, mon amie me dit : « t’as entendu le chanteur hier ? ». Sûr que j’avais entendu. Elle en est littéralement tombée amoureuse. Il a même fallut qu’elle aille s’acheter le CD. (un jour, je vous parlerai de mon entourage fanatique, y’a de quoi faire ^^)
Pour moi, Saez c’était le type qui faisait des chansons de cul pour faire vendre. Et je me souviens lui avoir dit : "Tu vas voir que toutes ses autres chansons seront loin de parler de sexe" . Et j’avais raison, bien sûr. (note à vous-même : j’ai toujours raison)
Les jours se suivent et se ressemblent : "Saez, c’est trop bien, Saez c’est trop bien." Jusqu’au jour où je fus réveillée par Sexe. Le drame ultime de toute ma vie. ^^
Puis bon, saoulée d’entendre parler que de lui tout le temps, j’ai craqué : j’ai pris le CD et j’ai lu. J’ai tout lu, tout écouté. J’ai même écouté en lisant. J’ai lu en écoutant. Et j’ai compris. Et j’ai adoré.
J’ai surkiffé ma race d’adolescente de 14 ans qui en veut à la terre entière.
Saez c’est donc devenu the chanteur de mon adolescence. Le chanteur un peu rebelle et poète qui écrivait des belles choses à sa copine. Et aujourd’hui, quand je l’écoute, j’y repense encore à cette période. Quand je trouvais ça trop beau d’écrire:
Qu’est-ce qu’elle a pu tourner cette chanson quand j’y repense.
Saez, aujourd’hui, en plus d’être le revival de tant d’émotions adolescentes, c’est aussi le type qui tourne en boucle quand le ciel est gris et bas et que la fenêtre est grande ouverte, attendant le grand saut.
Ce soir, je ne déprime pas, non, je me souviens.
Parce que quoiqu'on en dise, j'adore me replonger dans le passé, et surtout dans cette période.
Parce que j'ai envie de vous faire partager tout ça.
Je ressors un texte (désolée pour celles et ceux qui me suivent et qui y ont déjà eu droit) que j'ai écrit cet hiver (2009, quoi).
En plus de dire sans cesse "Arrête" quand on les embête, nos plus jeunes frères et sœurs nous font parfois redécouvrir des artistes. Moi, par exemple (en même temps je serais bien embêtée si je devais parler d’un de vous), ma sœur est en pleine période Saez. Ça tourne en boucle dans la chambre voisine. Ça chante du Sexe (je ne l’en félicite pas, d’ailleurs), ça met en pseudo du J’veux qu’on baise sur ma tombe, ça fait tourner Jeunesse lève toi. Bref, vous l’aurez compris, c’est Saez à toutes les sauces. Du vieux, du neuf, tout ça tout ça, quoi. Du coup, moi ça m’a donné envie d’y retourner. D’en remettre une couche. D’autant plus qu’avec Saez j’ai une sorte de relation à la je-t’aime-moi-non-plus.
Je me souviens avoir déjà noircies quelques pages concernant Saez sur un de mes précédents blogs, mais je ne pense pas que vous étiez présents pour les lire, alors… alors je recommence. Et puis, comme tous les couples qui aiment se remémorer leur première rencontre, j’aime vous re-raconter ma première fois avec Saez.
En fait, Saez a ça de particulier qu’au début je ne l’aimais pas du tout. Souvent, la première chanson que les gens connaissent de lui, c’est Jeune et con, celle qui passe à peu près bien à la radio. Mais, contrairement aux autres, la première fois que j’ai entendu ce chanteur, c’était certes à la radio, mais avec Sexe. J’avais 14 ans. Je me souviendrais (je crois) de cette soirée pendant encore pas mal d’années. C’était tard le soir. Je rangeais ma chambre (comprendre défaisais, remettais des posters de Buffy sur les murs de ma chambre) et j’avais mis de la musique. J’entends alors les premières paroles de Sexe et je m’arrête, brusquement, avec mon poster de David Boreanaz dans les mains. Interpelée, interloquée (et tous les adjectifs qui finissent par –ée) je n’ai plus rien fait jusqu’à ce que la chanson soit finie. Il fallait que j’écoute. Le lendemain, sans attendre, mon amie me dit : « t’as entendu le chanteur hier ? ». Sûr que j’avais entendu. Elle en est littéralement tombée amoureuse. Il a même fallut qu’elle aille s’acheter le CD. (un jour, je vous parlerai de mon entourage fanatique, y’a de quoi faire ^^)
Pour moi, Saez c’était le type qui faisait des chansons de cul pour faire vendre. Et je me souviens lui avoir dit : "Tu vas voir que toutes ses autres chansons seront loin de parler de sexe" . Et j’avais raison, bien sûr. (note à vous-même : j’ai toujours raison)
Les jours se suivent et se ressemblent : "Saez, c’est trop bien, Saez c’est trop bien." Jusqu’au jour où je fus réveillée par Sexe. Le drame ultime de toute ma vie. ^^
Puis bon, saoulée d’entendre parler que de lui tout le temps, j’ai craqué : j’ai pris le CD et j’ai lu. J’ai tout lu, tout écouté. J’ai même écouté en lisant. J’ai lu en écoutant. Et j’ai compris. Et j’ai adoré.
J’ai surkiffé ma race d’adolescente de 14 ans qui en veut à la terre entière.
Saez c’est donc devenu the chanteur de mon adolescence. Le chanteur un peu rebelle et poète qui écrivait des belles choses à sa copine. Et aujourd’hui, quand je l’écoute, j’y repense encore à cette période. Quand je trouvais ça trop beau d’écrire:
J’aurais aimé t’aimer comme on aime le soleil, te dire que le monde est beau et que c’est beau d’aimer.
J’aurais aimé t’écrire le plus beau des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire,
Devenir le soleil pour sécher tes sanglots et faire battre le ciel pour un futur plus beau.
Mais c’est plus fort que moi, tu vois, je n’y peux rien,
Ce monde n’est pas pour moi, ce monde n’est pas le mien.
Qu’est-ce qu’elle a pu tourner cette chanson quand j’y repense.
Saez, aujourd’hui, en plus d’être le revival de tant d’émotions adolescentes, c’est aussi le type qui tourne en boucle quand le ciel est gris et bas et que la fenêtre est grande ouverte, attendant le grand saut.
Ce soir, je ne déprime pas, non, je me souviens.
6 commentaire(s):
Rhaaan debbie elle danse toute nue dans les bar.
(Enfin je dis ça parce que je suis jalouse hein..)
(Oui parfaitement, j'ai envie de danser nue dans les bar parfois, ça vous dérange? Rhaan comme ils sont les gens, je vous jure..)
Saez berce mes crises anti-gens régulierement.
Et pour flouté le tout je dirai que j'ai detesté aux premieres écoutes, ma soeur en raffolait.
Et puis elle a finit pas se lasser alors j'ai adoré.
=> Cass': elle a même un sourire en saphir... la chance ^^
Saez on le comprend sur le moment... C'est un chanteur du moment je dirai. On n'écoute pas n'importe quand.
Ah Saez...
=> Zofia: :D
"putain vous m'aurez plus"
je l'aime assez cette chanson en ce moment ^^
=> Bif': C'est une de mes préférées aussi de son dernier album
:)
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